Paralysie Récurrentielle
Suite à un trauma, une chirurgie de la thyroïde ou du coeur, lors d'un cancer, ou à la suite d'une opération (intubation)... Le nerf pneumogastrique ou le nerf récurrent qui innervent entre autres les cordes vocales peuvent être atteints, ceci pouvant alors entrainer une paralysie partielle ou bilatérale de ces cordes.
La voix est alors très faible, voire soufflée, souvent bitonale.
Le diagnostic demande un scanner ou une IRM.
Si l'atteinte du nerf est structurelle par compression ou par emprisonnement de celui-ci, à OSTEOPATHE LYON CENTRE, Francis NYOCK a la possibilité d'agir sur ces structures encombrantes sans passer par une opération chirurgicale.
Quoi qu'il en soit, il est important d'agir et de voir votre médecin ou votre orthophoniste car il y a un risque d'ankylose des cartilages aryténoïdes et qu'à cette même occasion, s'installe une situation irréversible.
N.B. Quand la paralysie est bilatérale, suivant la position des cordes, en plus de l'aphonie, il existe au mieux, un fort risque de fausse route, au pire le pronostic vital peut être mis en jeu.
Ankylose des aryténoïdes
En cas d'ankylose des cartilages aryténoïdes, ces derniers n'assurent plus leur rôle moteur dans le mouvement des cordes vocales.
Dès lors, il y a un risque d'installation chronique d'une voix faible ou bitonale.
Parallèlement, le patient aura une tendance au forçage vocal, à des problèmes de déglutition et/où à des fausses routes à répétition.
Le mécanisme de survenue est souvent le même que pour la paralysie récurrentielle, voire la suite de celle-ci, tout comme le diagnostic.
Le traitement se fera à l'hôpital par voie externe ou par endoscopie.
En accompagnement de votre traitement, chez OSTEOPATHE LYON CENTRE, Francis NYOCK vous propose, via ses techniques, de stimuler le mouvement des cartilages afin de contrer leur immobilité et ainsi favoriser votre guérison.
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